Bonjour, un grand préavis a été lancé du 23 octobre 2024 au 31 mai 2025.
https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/locales/detail/preavis-de-greve-du-23-octobre-2024-au-31-mai-2025
Cordialement
23
Oct.
2024
10:56
|
|
|
19
Nov.
2024
09:08
|
|
|
Pion a écrit:Bonjour, un grand préavis a été lancé du 23 octobre 2024 au 31 mai 2025.
https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/locales/detail/preavis-de-greve-du-23-octobre-2024-au-31-mai-2025
Cordialement
19
Nov.
2024
09:49
|
|
ligne 133 a écrit:Pion a écrit:Bonjour, un grand préavis a été lancé du 23 octobre 2024 au 31 mai 2025.
https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/locales/detail/preavis-de-greve-du-23-octobre-2024-au-31-mai-2025
Cordialement
Bonjour, consécutivement à ce préavis, toutes les lignes de la DSP 2 sont interrompues depuis le 07/11 et toujours aucun bus ne circule ce jour sans date de reprise pour le moment.
https://actu.fr/ile-de-france/cergy_951 ... 80143.html
19
Nov.
2024
10:13
|
|
05
Déc.
2024
21:31
|
|
08
Déc.
2024
18:04
|
|
|
Le Parisien a écrit:Immédiatement après l'application du jugement déclenchée par la préfecture, la direction du groupe de transport avait annoncé, préparer « la reprise progressive d'exploitation afin de fournir un service minimum aux usagers. » Pourtant ce jeudi au matin, les arrêts de bus étaient toujours déserts.
Les non-grévistes « ont fait valoir leur droit de retrait »
Les agents ont ainsi estimé que leur sécurité n'était pas garantie, par crainte d'essuyer la colère d'usagers parfois excédés et pour éviter la cohue que pourraient supposer des passages de bus pas assez nombreux. La direction estime pourtant avoir tout prévu pour qu'une reprise du trafic, même très partielle, puisse avoir lieu sereinement.
Le Parisien, dimanche 8 décembre 2024 a écrit:Désaccord sur les salaires, « climat de violence » : la grève des bus à Cergy-Pontoise et Conflans s'embourbe
Marie Persidat
C'est officiel, le mouvement de grève qui paralyse le trafic des bus à Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) et Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) a désormais dépassé les 30 jours. Et toujours aucune lueur d'espoir pour les 80 000 usagers du réseau... Comment expliquer un tel enlisement du conflit social qui oppose les agents de transport à l'entreprise Francilité Seine et Oise, qui a remplacé la Stivo début 2024 ?
Si les négociations ont été très longues à commencer - la direction de FSO refusant d'abord de s'asseoir à la table des discussions -, elles sont désormais régulières depuis une semaine. « Mais on en est toujours aux premiers points », peste Fred Mirande, le délégué FO. Car ce qui coince est à la base de tout : il s'agit de la grille de salaires.
La société FSO, du groupe Lacroix & Savac, a été choisie par Île-de-France Mobilités (autorité organisatrice des transports dans la région), à la suite d'un appel d'offres , pour prendre en charge les lignes autrefois gérées par la Stivo en ce qui concerne Cergy-Pontoise, et par Transdev pour Conflans-Sainte-Honorine. Le repreneur est tenu d'élaborer un nouvel accord dit « de substitution » avec les salariés. L'enjeu étant, pour reprendre les termes de FSO, « d'harmoniser les différents statuts ».
« Je gagne 1 500 euros par mois, je ne m'en sors pas »
Et c'est là que le bât blesse. Les représentants du personnel réclament une seule grille de salaires pour tout le monde, alors que l'employeur ne compte pas payer au même tarif tous les agents, et surtout pas ceux qui sont nouvellement embauchés. « Dans leur proposition dernièrement, il y avait trois grilles de salaires différentes, et après cela a même été jusqu'à cinq ! » regrette Fred Mirande.
Les délégués syndicaux, eux, continuent d'exiger une grille unique. Une solution écartée par l'opérateur, estimant qu'une telle harmonisation par le haut coûterait « plus de 2 millions d'euros par an au réseau » et ne serait « pas supportable économiquement. » On comprend par ces chiffres que le maintien des anciennes grilles de salaires ne peut rentrer dans l'enveloppe financière octroyée par Île-de-France Mobilités pour le marché auquel a répondu Lacroix & Savac.
La situation des récents embauchés, tous présents sur le piquet de grève avant qu'ils ne soient délogés par les forces de l'ordre , laissait effectivement deviner une forte perte de salaire. « Je gagne 1 500 euros par mois, je ne m'en sors pas, nous avait confié l'un des conducteurs. J'ai un seul jour de congé que je connais seulement quelques jours avant, et trois jours d'affilée toutes les trois semaines. J'ai besoin d'un salaire décent pour vivre en Île-de-France. J'ai déjà donné ma démission, qui sera bientôt effective. »
Le médiateur d'Île-de-France Mobilités aurait jeté l'éponge
FSO assure pourtant proposer un statut attractif pour pouvoir recruter, et annonce avoir « revu à la hausse le taux horaire d'embauche à + 3,8 % ». Pas assez pour les grévistes, « d'autant qu'ils le prennent sur le dos des autres, ils baissent dans le même temps la prime d'ancienneté de 16 à 14 ans », pointe Fred Mirande. Les deux camps semblent irréconciliables.
Le médiateur, nommé par Île-de-France Mobilités, a d'ailleurs déserté les lieux depuis plusieurs jours. Dans ce contexte d'enlisement du conflit social, le groupe Lacroix & Savac dénonce aussi avec véhémence « un climat de violence », qui serait entretenu par FO.
Dans son dernier communiqué, il assure qu'un « conducteur a été agressé à la sortie du dépôt et sorti de son véhicule. Le bus a été vandalisé, le rendant inutilisable ». La société mentionne également une tentative d'intrusion nocturne : « Une délégation de grévistes a tenté de démonter le portail d'entrée », assure-t-il. Interrogé, le groupe nous répond cependant qu'aucune plainte n'a été déposée. Les dégâts auraient été « évités ».
On voit mal comment les deux parties pourraient enfin s'entendre... Pour tenter de faire avancer la situation, le député de la 10e circonscription du Val-d'Oise, Aurélien Taché (LFI) , vient d'envoyer une demande au préfet afin de réclamer « l'intervention d'une médiation de l'inspection du travail pour qu'une réelle solution soit effectivement recherchée et trouvée sans plus tarder », ajoute le parlementaire. Une option poussée par le syndicat FO mais refusée par la direction de FSO. « Pour l'instant nous essayons de trouver un terrain d'entente entre nous », déclare Stéphane Bonnaud, directeur du développement de Lacroix et Savac. Depuis un mois, c'est un échec total, au grand désespoir des 80 000 usagers du réseau.
https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95 ... KVZCMQ.php
09
Déc.
2024
15:54
|
|
|
10
Déc.
2024
07:59
|
|
10
Déc.
2024
12:50
|
|
Retourner vers Actualités et informations générales
Utilisateurs parcourant ce forum: Quentin et 1 non inscrit